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Affichage des articles du juillet, 2014

Instant T. #66

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Pour Nikit@.

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En vrac #121

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Se réveiller à dix heures, la fenêtre grande ouverte, et ne pas entendre le moindre bruit dehors, le rêve ! Faut-il vraiment s'étonner de la nullitude annoncée de 50 nuances de machin, le film, quand on voit la qualité du livre ? C'est fou ce qu'une petite heure de rangement a fait du bien à mon sous-sol. Tombée sur un documentaire sur le Liban à la télé, je suis sous le charme. Tu la connais, la fille qui commence à étendre son linge cinq minutes avant que l'agriculteur n'arrive pour moissonner...? Bien contente d'avoir retrouvé Mademoiselle A., une semaine sans elle, c'était long !!! J'ai encore terminé un bouquin, lequel vais-je bien pouvoir lire maintenant ? Ils jouent avec leur vie, les piafs qui rentrent la nuit dans notre chambre, qui est accessoirement aussi celle des chats ! J'adore ce moment, vers 16 heures, quand mon Chéri se met à cuisiner pour le repas du dimanche soir. Si je chope le con qu'a eu l'idée de parfumer le Zoprac à…

Revenante, marinade et coloriage... Et aussi baignade, brochettes et lecture !

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Mes semaines en Instagram #92 et #93
Je ne te ferai pas une énième fois l'affront de la faille spatio-temporelle, à plus forte raison parce que ce serait tout sauf vrai. J'ai juste choisi de m'éloigner de l'Internet le temps de m'occuper de ma nièce, venue passer sa traditionnelle petite semaine de vacances en Normandie du Bas. Et, crois-moi, à six ans, elle a de l'énergie à revendre. Bien plus que je ne suis capable d'en supporter...!

Dimanche 13

On a ressorti la yaourtière ! Parce que les yaourts-maison, c'est meilleur, c'est plus économique et au moins, on sait ce qu'il y a dedans... enfin, si tant est qu'on puisse avoir confiance dans le lait qu'on utilise.
Pour la reprise, j'ai utilisé un pot de ma confiture de mûres foirée/liquide de l'automne dernier. Je n'ai utilisé que les fruits que j'ai déposés au fond de chaque pot. Une réussite. La dernière fois, j'avais dû y ajouter trop de liquide parce que les yaourts n…

En vrac #120

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Dix jours sans internet, c'était quand même 'achement bien !!!  Sa main dans la mienne, jusqu'à la fin des temps, c'est fou comme je l'aime !  Marre des auteurs de polar qui bâclent le travail et qui dénouent une intrigue à la va-vite, en une dizaine de pages. Ça y est, les coups de soleil de mercredi midi se sont enfin transformés en bronzage. C'est triste, ces gens qui sont tellement centrés sur leur petite personne qu'ils en oublient de faire attention aux autres. La maison me semble terriblement vide maintenant que mon niéçou est repartie.
La clim', la crève, ma vie... Un jour, je ne serai plus bordélique et j'arrêterai de tout perdre, particulièrement ce qu'il ne faudrait pas que je perde. Je suis folle de rage : mes sal*peries de chats ont encore tué une merlette... Y'a pas à dire, la Normandie du Bas sous le soleil, ça a des airs de paradis.
Très envie d'aller pique-niquer à la plage un de ces soirs. Tomber sept fois, se relev…

Los Angeles, atterrissage immédiat

Le trip du soir #1
Le soir, souvent, je traîne que le net, sautant de découverte en découverte. Ou alors, je ressors de vieux trucs qui me font vraiment triper, d'où l'idée de ce nouveau rendez-vous, qui n'aura rien de régulier, ça se fera juste en fonction de l'inspiration.
Pour cette première, je te propose de prendre l'avion.
Tu ne le sais pas parce que je crois ne jamais en avoir parlé dans le coin, mais l'avion, ça a longtemps alimenté mes rêves d'enfant : je rêvais de devenir pilote. De chasse, de ligne, de tout ce que tu veux, toujours est-il que longtemps j'ai rêvé d'avoir les fesses en l'air. Bon, j'ai grandi près de Roissy, je ne te dis donc pas le nombre d'avions que j'ai vus passer au-dessus de ma tête, le nombre de fois où mon père m'y a emmenée juste pour voir le Concorde décoller, le nombre salons du Bourget ou de meetings aériens auxquels j'ai assisté... Je ne te dis pas non plus l'état dans lequel ça me m…

Meurtres pour rédemption - Karine Giébel

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Quatrième de couverture :
Marianne, vingt ans. Les barreaux comme seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière. Indomptable, incontrôlable, Marianne se dresse contre la haine, la brutalité et les humiliations quotidiennes. Aucun espoir de fuir cet enfer, ou seulement en rêve, grâce à la drogue, aux livres, au roulis des trains qui emporte l'esprit au-delà des grilles. Grâce à l'amitié et à la passion qui portent la lumière au cœur des ténèbres. Pourtant, un jour, une porte s'ouvre. Une chance de liberté. Mais le prix à payer est terrifiant pour Marianne qui n'aspire qu'à la rédemption...
"Karine Giébel signe un suspense implacable et brosse, avec Marianne, un portrait de femme écorchée digne de la Lisbeth de Stieg Larsson." 24 heures.
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Bien longtemps que ce roman squattait dans ma fameuse "bibliothèque à lire", je crois que j'étais impressionnée par ses presque mille pages. Et puis, Karine Giébel, pour le peu que j'en avais déjà lu, …

Dix-neuf heures d'angoisse {mémèràchats en panique inside}

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C'est un dimanche de juillet. Comme un autre. Enfin presque : un soir de finale de Coupe du Monde, un soir de petits bals populaires et de feux d'artifice. Toi, tu es restée chez toi. Tu regardes tranquillement les Teutons accrocher une quatrième étoile à leur maillot blanc, ça t'énerve, toi, tu étais pour l'Argentine de Messi. Tu te dis que la soirée est belle, que les chats ont bien raison d'en profiter. Et puis vient se moment où tu veux aller te coucher. Problème : il en manque deux à l'appel. Tu en retrouves une sur le chemin agricole derrière chez toi, en compagnie du matou des voisins, ni l'un ni l'autre n'ayant l'air très décidés à passer leur nuit à l'intérieur. Tu as un mal fou à la récupérer. Et tu ne sais toujours pas où se trouve la dernière... Tu retournes à la maison, chercher l'arme ultime : le sachet de croquettes, le truc qui fonctionne à tous les coups. Tu le secoues dans ton jardin, tu le secoues dans la rue, tu le s…

Instant T. #65

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Pour Nikit@.

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Ciel bleu, chat et ciel gris...

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Ma semaine en Instagram #91

Pas la gouache en ce début de mois de juillet, il y aura probablement des jours meilleurs...
Du coup, je regarde le ciel. Je n'en finis plus de regarder le ciel. Je ne sais pas si c'est là que se trouve la solution mais ça a au moins le mérite de m'apaiser.
Dimanche

Retour d'un week-end passé chez mes parents. Un vrai week-end, samedi ET dimanche. Hélas un week-end sous le signe du temps supra-merdique, c'est bien simple, on n'a pas pu mettre le nez dehors tellement il a plu. Mon père a quand même eu le courage de nous faire griller une belle côte de bœuf au barbecue ce midi, planqué sous son parapluie. On avait emporté les maillots de bain, mais on n'a pas pu mettre un orteil dans la piscine... Bien évidemment, une fois que le long ruban monotone de l'autoroute du retour a eu franchi la limite de notre région, ça n'a été que soleil et grand bleu... La louse !

Lundi

Un ciel à la Boudin au-dessus de ma tête aujourd'hui.…

Une soirée à Ouistreham

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La soirée passée à admirer le soleil se coucher dans la mer jeudi dernier a été tellement belle... On a eu une météo tellement moyenne depuis... J'ai passé tant de temps à contempler les photos prises ce soir-là... Que finalement, je te propose d'y retourner ce matin.

Pas de mots, juste des images. Enjoy !


















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J'ai mis de la mozza dans ma tarte à la tomate !

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Mercredi gourmand #129
Bon, je préfère te prévenir tout de suite : ne t'emballe pas. Ce billet n'a rien à voir avec un retour pour de bon, pour de vrai, je me réserve encore sur le sujet. Disons que je me laisse le temps de l'été pour me décider. En contrepartie, comme j'ai fait il y a quinze jours une tarte qui déchire, qu'elle est aux couleurs, justement, de l'été, j'ai eu envie de t'en faire profiter.
Figure-toi que j'ai mis de la mozzarella dans ma tarte à la tomate ! Bon, la tarte à la tomate, c'est un grand classique : de la pâte brisée (moi, je suis toujours fan de celle d'Ottoki), sur laquelle tu étales une bonne couche bien épaisse de moutarde forte, puis des tomates découpées en rondelles, tu sales, tu poivres, tu origanes et hop, 30 minutes au four thermostat 6.
Et puis, ce soir-là, va savoir pourquoi, j'ai eu envie d'y ajouter du fromage. Je n'avais pas dans mon frigo de mozzarella à cuire (oui oui, ça existe, différe…